Agronome, Ph. D., professeure adjointe, Département des sols et de génie agroalimentaire, Université Laval

Marie-Élise Samson est professeure adjointe au Département des sols et de génie agroalimentaire à l’Université Laval. Agronome et diplômée de la maîtrise en sols et environnement, elle a réalisé un doctorat en cotutelle à l’Agrocampus Ouest, en France, et à l’Université Laval, qui lui a valu la prestigieuse bourse d’études supérieures du Canada Vanier pour ses travaux de recherche. Ses champs d'expertise incluent l’agropédologie et les cycles biogéochimiques de la matière organique des sols. Ses travaux ont permis, entre autres, de mieux anticiper l’effet de différentes pratiques agricoles sur le rendement des cultures, la fertilité du sol et le stockage de carbone dans les sols agricoles.

Étudiant à la maîtrise, Université Laval

Mohamed Taher Khechine est étudiant à la maîtrise en biologie végétale sous la direction de Caroline Halde et la codirection de Marie-Noëlle Thivierge. Il détient un diplôme d'ingénieur en production animale et fourragère de l’École Supérieure d'Agriculture de Mateur (Tunisie) et est titulaire d’une bourse nationale du gouvernement de la Tunisie.

Étudiante à la maîtrise et adjointe à la recherche, Université Laval et Agriculture et Agroalimentaire Canada

Kassandra Pelletier est étudiante à la maîtrise en biologie végétale avec mémoire à l'Université Laval, où elle a aussi complété un baccalauréat en agronomie – Sols et environnement. Son projet de maîtrise porte sur l'effet de différentes séquences culturales sur les traits racinaires du maïs fourrager et du soya.

Agronome, Ph. D., chercheuse, Agriculture et Agroalimentaire Canada

Marie-Noëlle Thivierge est agronome et détient un doctorat en biologie végétale de l’Université Laval et un postdoctorat sur l’impact des changements climatiques en agriculture. Elle est chercheuse chez Agriculture et Agroalimentaire Canada depuis 2015. Ses activités de recherche visent une meilleure compréhension des systèmes fourragers et l'amélioration des pratiques culturales associées afin d'optimiser le rendement, la qualité, la persistance et la résilience des peuplements fourragers tout en maximisant leur prestation de services écosystémiques, particulièrement en contexte de changements climatiques.

Ph. D., chercheuse, Agriculture et Agroalimentaire Canada

Annick Bertrand est chercheuse à Agriculture et Agroalimentaire Canada depuis 1998. Ses travaux portent principalement sur la résistance aux stress abiotiques des plantes fourragères pérennes (gel, salinité, glace, sécheresse, changements climatiques). Elle travaille en collaboration avec une équipe multidisciplinaire sur le développement de nouvelles approches de sélection et sur l'identification de métabolites et de niveaux d’expression de gènes liés à la résistance aux stress ainsi qu'à l'optimisation de la symbiose avec les légumineuses pour une meilleure résistance aux stress abiotiques. Un autre aspect important de ses recherches est l'amélioration de la qualité nutritive des fourrages par l'augmentation de l'énergie et de la digestibilité des parois cellulaires. Finalement, par le développement de méthodes pour la réduction de la dormance automnale de la luzerne, ses travaux visent à améliorer le rendement de cette espèce au Canada.

Ph. D., chercheuse, Agriculture et Agroalimentaire Canada

Annie Claessens travaille au Centre de recherche et de développement de Québec (Agriculture et Agroalimentaire Canada) à titre de chercheuse en amélioration génétique des plantes fourragères. Avec son équipe, elle travaille principalement sur l’amélioration génétique des légumineuses et graminées pérennes pour l'industrie fourragère et bioénergétique. Elle s’intéresse particulièrement au développement de nouvelles méthodes de sélection menant au développement de ressources génétiques et de cultivars ayant un rendement, une persistance et/ou une valeur nutritive accrus.

Ph. D., chercheur scientifique – Gestion des fourrages et de l’ensilage, Agriculture et Agroalimentaire Canada

Chercheur à Agriculture et Agroalimentaire Canada, M. Hassanat travaille depuis 2011 sur des pratiques visant à diminuer les gaz à effet de serre dans la production des fourrages, avec des mesures in vitro et in vivo. Il a coécrit 19 articles scientifiques et donné 30 présentations lors de congrès scientifiques sur la manipulation de la diète des vaches laitières pour diminuer les gaz à effet de serre.

Agronome, Ph. D., chercheuse, Agriculture et Agroalimentaire Canada

Membre de l'Ordre des agronomes depuis 2010, Mélissa Duplessis a complété un Doctorat en sciences animales à l'Université Laval en 2014. Après un postdoctorat chez Lactanet et Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC), elle a été engagée comme chercheuse scientifique au Centre de recherche et de développement de Sherbrooke (AAC) en 2020. Elle développe son programme de recherche en production laitière intelligente visant à intégrer les concepts de nutrition, santé et production durable. Elle s’intéresse aussi aux vitamines B et aux minéraux traces.

M. Sc., étudiante au doctorat, Université de Guelph

Jessica St John est professionnelle de recherche et candidate au doctorat à l’Université de Guelph. Son projet d’étude est le préfauchage comme pratique de gestion des pâturages afin de déterminer son effet sur l'utilisation des pâturages, le comportement des vaches laitières et la production laitière.

M. Env., chef d’équipe en recherche et innovation – Production animale et fourragère, Agrinova

Stéphanie Claveau a complété un baccalauréat en biologie en 2003, ainsi qu'une maîtrise en agroenvironnement en 2006, à l'Université de Sherbrooke. Elle est à l'emploi d'Agrinova depuis 2006 où elle occupe le poste de chef d'équipe en recherche et innovation en production animale et fourragère. Au cours de sa carrière, elle a réalisé de nombreux projets dans les fermes laitières sur des sujets variés comme, la détection des chaleurs, le confort et le bien-être et la réduction des GES.

Professeur retraité, Pôle d’expertise en plantes fourragères du Québec

Guy Allard, aujourd’hui professeur retraité de l’Université Laval dans le domaine de la production et de l’utilisation des plantes fourragères, est, depuis février 2021, directeur du Pôle d’expertise en plantes fourragères du Québec (Pôle-PFQ), une division du Conseil Québécois des Plantes Fourragères (CQPF), dont il est également chargé de projets.