Les principales mauvaises herbes problématiques en grandes cultures : bien les comprendre pour mieux les contrôler
Amélie Picard, agr., M. Sc., malherbologiste, Direction de la phytoprotection, Laboratoire d’expertise et de diagnostic en phytoprotection, MAPAQ
Annie Marcoux, agr., M. Sc., malherbologiste, Direction de la phytoprotection, Laboratoire d’expertise et de diagnostic en phytoprotection, MAPAQ
David Miville, agr., M. Sc., malherbologiste, Direction de la phytoprotection, Laboratoire d’expertise et de diagnostic en phytoprotection, MAPAQ
Présentation des principales mauvaises herbes problématiques dans les grandes cultures en raison de leur résistance aux herbicides : les caractéristiques permettant de les identifier, leur cycle de vie ainsi que des moyens de lutte en fonction de leurs particularités.
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Sujet : Démonstration de techniques alternatives visant la diminution de l'usage des herbicides dans les grandes cultures
Murielle Bournival, CETAB+
Vincent Lamarre, ITAQ, campus La Pocatière
Résumé à venir.
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Les EPI : où, quand et comment les porter?
Vicky Villiard, agr., conseillère régionale en phytoprotection et en régie biologique, Club Durasol Drummond inc.
France Pelletier, B. A. A., conseillère en ressources humaines agrée, préventionniste et conseillère en santé et sécurité au travail
Synthétiser et diffuser les bonnes pratiques en termes d’utilisation des équipements de protection individuelle (EPI) pour protéger la santé des utilisateurs. Démystifier le rôle des EPI et leurs caractéristiques spécifiques afin de rendre leur utilisation plus régulière et plus sécuritaire.
Partenaire de la présentation de l'atelier
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Les différents systèmes de technologies dans le soya : comment éviter les erreurs?
Chantal Veilleux, agr., B. Sc., Corteva
Lisanne Émond, Corteva
Stéphane Myre, Bayer
Jérôme Belzile, Bayer
Cet atelier vise à montrer les risques de phytotoxicité causés par l’utilisation incorrecte de produits phytosanitaires dans le soya selon différentes technologies. Nous visiterons une parcelle de soya comprenant les principaux traits technologiques disponibles dans cette culture, soit Enlist E3, Xtend, XtendFlex. Cette parcelle illustrera l’effet de différents arrosages, comme celui de l’utilisation du mauvais produit phytosanitaire sur un système, celui d’une dérive et d’un mauvais rinçage de réservoir sur les différentes technologies?.
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Sujet : Trucs et astuces pour maximiser la qualité de la pulvérisation
Animateur à confirmer
Animateur à confirmer
Résumé à venir.
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Diagnostic de problèmes phytosanitaires : testez vos connaissances!
Véronique Samson, agr., conseillère en grandes cultures et responsable régionale du Réseau d'avertissements phytosanitaires, Direction régionale de la Capitale-Nationale et de la Chaudière-Appalaches, MAPAQ
Dominique Fiset, agr., conseillère en agroenvironnement, Fertior
Le principal objectif de cet atelier est de présenter des plants et/ou des éléments visuels afin de permettre aux participants d’avoir une bonne approche diagnostique de problèmes phytosanitaires.
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Les corridors solaires en grandes cultures au Québec : est-ce envisageables?
Laurence Durocher, B. Sc. A., étudiante à la maîtrise en biologie végétale - avec mémoire, Département de phytologie, Université Laval
Pierre Rémillard, agr., B. Sc. A., chargé de projet en recherche et innovation, Agrinova
Cet atelier vise à présenter et à démystifier le système de culture en corridors solaires, un système de production novateur en grandes cultures dans lequel les entre-rangs sont élargis pour optimiser la réception de la lumière par les plants. Pourquoi les corridors solaires? Les producteurs et productrices de grandes cultures au Québec ont montré un intérêt pour ce nouveau système qui a le potentiel d’améliorer la santé des sols, en y intégrant des cultures de couverture intercalaires, tout en maintenant des rendements optimaux. Les objectifs de cet atelier sont de présenter les résultats des corridors solaires sur la santé des sols, le contrôle des mauvaises herbes et les rendements. Différents mélanges d’espèces de cultures de couverture intercalaires seront montrés dans des parcelles de soya tous les 30 po ainsi que dans les parcelles de maïs-grain à deux espacements d’entre-rangs (30 et 60 po).
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Sujet : Effets à court terme des méthodes de destruction des cultures de couverture sur le rendement des cultures, les mauvaises herbes et la santé des sols en maraîchage biologique
Michaël Brière, B. Sc. A., étudiant à la maîtrise en biologie végétale, Département de phytologie, Université Laval
Animateur à confirmer
Résumé à venir.
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